Il y a quelques semaines à peine, la gauche radicale a accusé CitizenGO de « désinformation » pour avoir défendu les droits des enfants à naître.
Des radicaux extrémistes pro-avortement demandent au gouvernement kenyan d’enquêter sur CitizenGO et de poursuivre notre courageuse militante, Ann Kioko.
Ces groupes d’extrême gauche pro-avortement utilisent l’argent de George Soros pour attaquer Ann avec un harcèlement quotidien, avec des menaces de poursuites judiciaires pour avoir protégé les femmes et les bébés de l’industrie de l’avortement.
Et Ann n’est pas la seule militante à faire l’objet de menaces personnelles et de poursuites de la part de la gauche radicale.
L’Anglaise Caroline Farrow a risqué deux ans de prison après avoir « mal parlé » du fils d’une militante radicale en Angleterre.
Elle a reçu des menaces de viol et de mort de la part de militants enragés, et l’école que fréquentent ses enfants a été dévoilée sur internet.
Un activiste transsexuel connu pour ses procès et accusations frivoles a menacé de poursuivre Caroline à plusieurs reprises pour avoir exprimé ses convictions chrétiennes en ligne.
D’autres cyberharceleurs transgenres attaquent vicieusement Caroline et vont jusqu’à se moquer et faire des commentaires dégoûtants à l’égard de ses enfants.
En Argentine, Silvina Spataro est inscrite sur une liste noire pour avoir fait campagne en faveur de l’arrêt du meurtre de bébés innocents par l’avortement. Son nom a été publié dans plusieurs journaux pour la salir.
En Pologne, Paweł Woliński de CitizenGO a reçu de multiples insultes et menaces envoyées sur ses comptes de médias sociaux, son courrier personnel et son téléphone pour avoir défendu les valeurs familiales face à la foule LGBT.
Honnêtement, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg de ce à quoi CitizenGO s’oppose chaque jour. Avec cette augmentation des menaces et des poursuites judiciaires, je vous demande de soutenir CitizenGO et nos courageux militants attaqués.
Merci de participer tout de suite !
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